El Gusto, Taliani et…Joy Division
Je sais que ce titre semble incongru, mais voilà s’il y a un seul lien au monde entre El Gusto (châabi), Réda Taliani (rai) et Joy Division (punk), ben ce lien c’est moi.
Le concert d’El Gusto fût super. Avec Abdelmadjid Meskoud comme maître de cérémonie et El Hadi El Anka comme chef d’orchestre. A travers les différentes chansons choisies pour la soirée, Meskoud en commentateur avisé nous a fait voyager à travers différentes villes d’Algérie par la magie des chansons. C’est ainsi que j’ai appris que l’une des plus belles chansons châabi, « Chehlet lâayani », a été composée par un chanteur de Cherchell ( je n’ai pas retenu le nom ). C’était très émouvant de voir les anciens élèves d’El Anka faire vivre cette musique châabi de façon si fraîchement actuelle. Les musiciens et chanteurs juifs étaient comme des poissons dans l’eau. René Perez, c’était comme si c’était hier, Luc Cherki était visiblement très ému et Robert Castel surprenant. J’ai déjà au ma dose d’émotion la première fois que j’ai entendu un pied-noir parler en arabe (et même en berbère) comme moi, mais avec El Gusto voir Robert Castel faire un istikhbar en arabe, c’est d’un autre calibre. Tous ont rendu hommage à El Hadj Mohamed El Anka, maître incontesté de la chanson châabi moderne. Les chansons châabi les plus courtes durent toujours autour 10 minutes, alors on est un peu surpris de les voir raccourcis. Mais Abdelmadjid Meskoud a comment faire les enchaînements par ses présentations des différentes chansons et leurs origines. En une heure et demi de temps de concert, c'est un très bon compromis.
Et Taliani ? Parce que depuis quelques jours, c’est des chansons de son dernier album (entre autres) qui tournent dans mon baladeur. D’ailleurs, n’est-ce pas une coincidence étrange que le chanteur rai le plus populaire depuis 2 ans en Algérie soit originaire d’une ville qui a aussi donné ses lettres de noblesse à la chanson andalou et châabi, à savoir Koléa.
Quand à Joy Division, parce que le film «Control» sur la vie d’Ian Curtis, chanteur mythique de Joy Division est sorti la semaine dernière.
Le concert d’El Gusto fût super. Avec Abdelmadjid Meskoud comme maître de cérémonie et El Hadi El Anka comme chef d’orchestre. A travers les différentes chansons choisies pour la soirée, Meskoud en commentateur avisé nous a fait voyager à travers différentes villes d’Algérie par la magie des chansons. C’est ainsi que j’ai appris que l’une des plus belles chansons châabi, « Chehlet lâayani », a été composée par un chanteur de Cherchell ( je n’ai pas retenu le nom ). C’était très émouvant de voir les anciens élèves d’El Anka faire vivre cette musique châabi de façon si fraîchement actuelle. Les musiciens et chanteurs juifs étaient comme des poissons dans l’eau. René Perez, c’était comme si c’était hier, Luc Cherki était visiblement très ému et Robert Castel surprenant. J’ai déjà au ma dose d’émotion la première fois que j’ai entendu un pied-noir parler en arabe (et même en berbère) comme moi, mais avec El Gusto voir Robert Castel faire un istikhbar en arabe, c’est d’un autre calibre. Tous ont rendu hommage à El Hadj Mohamed El Anka, maître incontesté de la chanson châabi moderne. Les chansons châabi les plus courtes durent toujours autour 10 minutes, alors on est un peu surpris de les voir raccourcis. Mais Abdelmadjid Meskoud a comment faire les enchaînements par ses présentations des différentes chansons et leurs origines. En une heure et demi de temps de concert, c'est un très bon compromis.
Et Taliani ? Parce que depuis quelques jours, c’est des chansons de son dernier album (entre autres) qui tournent dans mon baladeur. D’ailleurs, n’est-ce pas une coincidence étrange que le chanteur rai le plus populaire depuis 2 ans en Algérie soit originaire d’une ville qui a aussi donné ses lettres de noblesse à la chanson andalou et châabi, à savoir Koléa.
Quand à Joy Division, parce que le film «Control» sur la vie d’Ian Curtis, chanteur mythique de Joy Division est sorti la semaine dernière.
<< Home